Vente
de
gravures de:
Jacques
Callot. 1592-1635.
Il est né à Nancy.dans
le duché de Lorraine indépendant du royaume de
France sur lequel règne Henri IV.
Callot a voyagé en
Italie,(comme claude Gellée) Rome et Florence, pour
compléter sa formation,chez Thomassin graveur et
marchand d'estampes installé à Rome ensuite il ira à
Florence capitale culturelle il commence à graver
au burin ensuite à l'eau -forte,il retourne à Nancy en
1621. se marie,Il assistera à de nombreuses guerres
(de religions ,de trente ans,) .Son oeuvre est marquée par ces guerres Sa
suite de planches "Les misères de la guerre" est
incontournable,(mais ce n'est pas un sujet
maritime)
Louis XIII lui
commande le Siège de l'ile de Ré et le siège de la
Rochelle sur le modèle du siège de Breda.
Callot meurt à
Nancy à 43 ans. Il a produit un millier de dessins et
gravures. Callot était un exceptionnel
dessinateur, il avait de nombreux
carnets d'esquisses.
(Pour notre part nous présenterons
des estampes maritimes uniquement ) Jacques Fagnani,marchand italien établi
à Paris a réuni à la mort de Callot la plus grande
partie de ses cuivres
Jacques
Callot, né à Nancy en 1592 et mort à
Nancy le ,
est un dessinateur et graveur lorrain, dont
l'œuvre la plus connue aujourd'hui est une
série de dix-huit eaux-fortes intitulée Les
Grandes Misères de la guerre, évoquant
les ravages de la Guerre de Trente Ans qui se
déroulait alors en EuropeIl est
considéré comme l'un des maîtres de l'eau-forte.
Son style se caractérise par la netteté du trait
et la profondeur de l'encrage, qui permettent de
conserver une parfaite lisibilité à ses
eaux-fortes, malgré le fréquent foisonnement des
scènes et des personnages, sur des gravures de
surface souvent restreinte.On doit à Callot
plusieurs innovations qui permirent le plein
développement de cet art, en particulier
l'utilisation du « vernis dur ». C'est
Abraham Bosse qui diffusa ces innovations, en
publiant en 1645 le premier traité sur la
gravure des eaux-fortes, qui sera largement
traduit en Europe.Jacques Callot est né en 1592
dans une famille lorraine récemment anoblie. Ses
parents étaient Jean Callot, issu d'une famille
originaire de Bourgogne, gentilhomme, premier
héraut d'armes de Lorraine, et Renée Brunebault,
son épouse, qui eurent huit enfants, six garçons
et deux filles. Jacques Callot était le second
des six fils.son grand-père paternel, Claude,
avait épousé une petite-nièce de Jeanne d'Arc,
et avait été anobli par le duc Charles III de
Lorraine, par lettres de noblesse datées de
l'avant-dernier jour de juillet 1584, pour
« services fidelz et aggréables que par
l'espace de vingt deux ans et plus Il nous a
faict », et dit André Félibien, en
particulier « pour une occasion où il donna
des marques de sa fidélité et de son courage La
passion de Callot pour le dessin est très
précoce, nourrie par la fréquentation des
artistes locaux : Jacques Bellange, auréolé
de gloire par son séjour en Italie, Demenge
Croq, l'orfèvre
et graveur chez qui il sera plus tard apprenti,
et surtout, le père de son ami Israël Henriet,
qui donne à son fils des cours de dessin dont
Callot bénéficie sans doute égalementArsène
Houssaye imagine le jeune Callot, âgé d'à peine
douze ans, dessinant déjà tout ce que lui
inspiraient les rues de Nancy : soldats
fanfarons, mendiants, pèlerins, saltimbanques,
montreurs d'ours, Gilles, pierrots et autres
figures bouffonnes...Entraîné vers les arts par
une passion que sa famille contrarie, il
s'échappe, pour la satisfaire, de la maison
paternelle, avec comme objectif de rejoindre
Rome, sans doute encouragé à sauter le pas par
les lettres que lui adresse Israël Henriet, plus
âgé que lui de quelques années, depuis cette
ville où il est alors parti étudier l'art Selon
l'historien André Félibien, il s'enfuit de chez
lui une première fois, à peine âgé de douze ans,
pour gagner Rome à pied, en se joignant à une
troupe de Bohémiens, qu'il accompagne jusqu'à
Florence. Le souvenir de cet épisode a peut-être
été à l'origine de la petite suite de quatre
planches, Les Bohémiens, qu'il gravera
en 1623-1624. À Florence, il rencontre le
graveur Remigio Cantagallina, chez qui il aurait
travaillé très brièvement, avant que de
continuer son chemin vers Rome. Arrivé
finalement à Rome, il est reconnu par des
marchands nancéiens amis de sa famille, qui le
reconduisent à Nancy. Son père l'oblige à
reprendre ses études.À quatorze ans, toujours
selon Félibien, « comme il n'avoit nulle
inclination aux Lettres », il fait à
nouveau une fugue vers l'Italie. Là, il est
retrouvé à Turin par son frère aîné Jean, qui le
reconduit en Lorraine. Le doute est permis quant
à l'exactitude de ces deux belles aventures mais
c'est en tout cas ainsi qu'elles furent
rapportées de première main à Félibien, par des
proches de Callot. Quoi qu'il en soit, après ces
deux fugues et afin qu'il apprenne le métier
d'orfèvre, il est mis en apprentissage par son
père chez Demenge Croq, orfèvre-graveur et
maître des monnaies du duc de Lorraine, dont il
avait d'ailleurs déjà fréquenté bien souvent
l'atelier Le contrat, signé le 16 janvier 1607
prévoit que l'apprentissage de Jacques Callot
dure quatre années consécutives. Bien qu'il
réalise alors dans ce cadre ses premières
gravures (notamment un portrait de Charles III
de Lorraine), il
abandonne cet apprentissage avant son terme.Ce
n'est que plus tard, à l'âge de seize ans, que
son père accepte finalement de reconnaître la
vocation de son fils, en l'envoyant étudier les
techniques de la gravure en Italie. Jacques
Callot s'y rend, en se joignant, dit-on, le , à l'ambassade de
Lorraine qui part au même moment pour Rome
annoncer au Pape l'avènement d'Henri II au trône
de Lorraine, à la suite du décès de Charles III
Il arrive sans doute au tout début de l'année
1609 à Rome, où il retrouve son ami Israël
Henriet.Après une possible
première brève rencontre avec Antonio Tempesta,
aquafortiste florentin fort admiré à Rome, il
entre à l'atelier du graveur champenois Philippe
Thomassin, chez qui il apprend l'art de la
gravure au burin. Les premiers travaux que son
maître lui confie sont des copies, ce qui
constitue une bonne formation. C'est pendant
cette période qu'il travaille sur la série des
douze Mois et sur les Saisons,
et qu'il effectue bon nombre de copies d'œuvres
religieuses.Vers la fin de 1611, il quitte Rome
pour Florence, où la réputation de
l'ingénieur-architecte-graveur Giulio Parigi
l'attire À la fin de 1611 ou au tout début
de 1612, il arrive à Florence, où les Médicis
protègent et encouragent les artistes et les
savants (dont Galilée).
Après avoir été agréé par Cosme II de Médicis,
il entre dans l'atelier de Giulio Parigi.On
prépare alors à Florence la publication d'une
pompe funèbre de la reine d'Espagne,
Marie-Marguerite d'Autriche, femme de Philippe III d'Espagne,
morte à la fin de l'année 1611. Dans ce cadre,
Cosme II de Médicis, son beau-frère, confie à Tempesta,
l'aquafortiste, la réalisation des 29 planches
qui doivent composer l'œuvre. Surchargé par la
commande, Tempesta confie alors à Callot la
gravure de 15 de ces dessins, lui permettant
ainsi pour la première fois de travailler à
l'eau-forte À l'automne 1614, il s'installe au
Palais des Offices, où il est admis
officiellement comme graveur; c'est alors le
début d'une intense activité Il passe encore
deux ans chez Giulio Parigi à dessiner ou à
graver différentes œuvres. En 1615, ce dernier
se voit chargé par Cosme II de Médicis
d'organiser des fêtes en l'honneur du prince d'Urbino.
Giulio Parigi demanda alors à Callot de graver
un certain nombre de grandes eaux-fortes pour
conserver le souvenir de ces fêtes somptueuses.
C'est pour Callot l'occasion de développer son
talent : sa carrière est dès lors
véritablement lancée, et se poursuit avec la
réalisation des Caprices.Probablement
vers 1616 ou 1617, il a l'idée d'utiliser le vernis
dur des luthiers florentins pour protéger
le cuivre des planches, ce qui va totalement
changer les possibilités de l'eau-forte par
rapport au vernis mol utilisé jusque là.
En février 1617, à l'occasion des noces de
Jeanne d'Autriche avec l'héritier Médicis,
l'artiste lorrain grave les tableaux scéniques
de l'académie de
dessin florentine.C'est à la fin de son
séjour à Florence, après de nombreux succès,
qu'il réalise l'une de ses eaux-fortes les plus
grandes et les plus connues, La Foire de
l'Impruneta.En 1621, à la mort du
grand-duc Cosme II de Médicis, il répond au
désir de Charles de Lorraine de le voir revenir
dans son pays, et rentre en Lorraine, où il
reçoit un accueil flatteur. Après une douzaine
d'années passées en Italie, c'est désormais ici
qu'il vivra, ne quittant plus son pays que pour
des voyages n'excédant guère six mois ou un
an.Il donne alors libre cours à son talent
créatif : il édite les séries pittoresques
fondées sur ses souvenirs d'Italie que sont Les
Balli et Les Gobbi, ainsi que la
série Les Gueux. Dès cette période, il
travaille sur l'immense série de planches (490
au total) que constitue le Livre des Saints,
et qui ne seront publiées qu'après sa mort.C'est
aussi de cette période que date sa petite suite
Les Bohémiens, ainsi que La Foire de
Gondreville, pendant français de La
Foire de l'Impruneta. Il travaille aussi
longuement à cette époque sur la gravure des Supplices,
où s'exprimera sa virtuosité.En novembre ou
décembre 1623, il épouse Catherine Kuttinger2,
fille de l'échevin en justice de la petite ville
lorraine de Marsal, et avec qui il n'aura pas
d'enfant.En 1625, il reçoit une importante
commande de l'infante Isabelle-Claire-Eugénie,
fille de Philippe II,
et gouvernante des Pays-Bas : celle-ci
souhaite en effet qu'il immortalise le siège de
Bréda, à la suite de la reddition de la ville,
après le siège de près d'un an mené par le
marquis de Spinola.Probablement au mois
d'octobre 1625, selon Édouard Meaume, Jacques
Callot se rend à Bruxelles à la demande de
l'infante, et recueille sur place les
informations nécessaires sur la disposition des
lieux et des positions, de manière à exécuter la
commande reçue Pendant son séjour aux
Pays-Bas, il rencontre Antoine Van Dyck,
qui fait son portrait, à Bruxelles ou à Anvers
C'est sans doute également pendant ce séjour aux
Pays-Bas que Callot dessine les deux vues qu'il
grave de Bruxelles. Il rentre probablement en
Lorraine dès 1626, et c'est à Nancy qu'il grave
les planches du Siège de Bréda, qui seront
éditées en 1628.Les six planches du siège de
Breda exécutées pour le compte de l'infante
Isabelle connaissent un grand succès, ce qui
vaut à Callot d'être approché par la maison du
Roi de France après la fin du siège de La
Rochelle en 1628.Il vient alors à Paris, dans
les premiers mois de l'année 1629, et il est
décidé de lui confier non seulement la commande
de six planches représentant le siège de La
Rochelle, mais aussi six autres planches sur
l'attaque du fort de Saint-Martin de l'île de Ré,
à exécuter dans le style du Siège de Breda.Il
grave ces douze planches à Paris, où il ne
séjourne guère plus d'un an, semble-t-il,
quittant la capitale française avant même
l'édition des planches des deux Sièges
commandés. Lors de ce séjour à Paris, il
retrouve son ami Henriet, devenu éditeur ;
il décide alors de lui confier l'édition de ses
futures planchesIl regagne Nancy en 1630. Après
la prise de Nancy, sa patrie, par Louis XIII, le , il refuse de consacrer
par son art le souvenir de cette conquête
ajoutant ensuite : « Je me couperais
plutôt le pouce ! ». Lorsqu'on lui
rapporte ce refus, Louis XIII déclare
simplement : « Monsieur de Lorraine
est bien heureux d'avoir des sujets si fidèles
et affectionnés. », et offre même une
pension de mille écus à Callot pour l'attirer en
France, et pour l'attacher à son service, ce que
Callot refuse Loin de chanter les louanges
du Roi de France, Jacques Callot publie alors
son œuvre la plus connue, la suite Les
Grandes Misères de la Guerre. Plus tard,
alors qu'il s'apprête à quitter la Lorraine pour
emmener sa famille en Italie, à Florence, le
cancer de l'estomac dont il souffrait déjà
depuis 1630 ou 1631 s'aggrave, et il
décède en 1635, sans doute le 24 mars
D157
1er état sur 2 1er combat naval gravure au burin originale de J.Callot épreuve de 1ér état avant Combat
naval Tres ancienne
estampe 1er état
prix 410 euros.
.
De Callot on peut
retenir le siége de la Rochelle.
et le Siége de l'
Ile de Ré .commandé par louis XIII Six
gravures anciennes tres
grand format
prix .600
euros.
Le siége de La Rochelle
sous le régne de Louis
XIII.et sous le ministére du Cardinal de
Richelieu.
RUPELLAE
OBSIDIO REGNANTE LUDOUICO XIII° ADMINISTRANTE RICHELEO
Louis XIII sur la batterie du
Chef-de Blaye resiste à Linsey
La flotte anglaise tente de
percer les lignes de Louis XIII
(issac de Razilly contre l'anglais R
Bertie de Lindsey
La
Rochelle. Les
protestants français font appel aux
anglais. Cette
collusion
des protestants de La Rochelle avec
l'ennemi ne pouvait rester sans sanction,
1627.Richelieu
va entreprendre un siège
titanesque,redoutes,batteries ,une digue
en pierre,seule une ouverture
étroite était remplie
d'épaves,poutres etc...Deux régiments se
trouvaient sur la digue,sous la
surveillance de l'amiral claude de Launay
-Razilly,était aussi présente une escadre
commandée par I de Razilli, Richelieu
était sur place,les Rochelais resistaient
sous les ordres de jean Guiton, 1628 L'Amiral
anglais
robert Bertie de Lindsey devait les
secourir,il est incapable de franchir les
batteries,il va retourner en
Angleterre,,c'est terminé pour La Rochelle
qui implore le pardon du Roi Louis
XIII .23.000 protestant
sur 28.000 avait péri!
.
: aussi nous
devons vous préciser La cote du peintre.
Quand on pense, marché
de l'art, on doit penser, ventes publiques,en effet
maintenant le marché est beaucoup plus "global" il
ne s'arréte pas à une galerie ,ou un artiste qui fixe
unilatéralement le prix de ses oeuvres,on peut dire
qu'il y a une irrésistible ascension des maisons de
ventes aux enchères, au détriment des marchands
traditionnels.
La diffusion d'un
grand nombre de catalogues,( par internet et les
autres supports.) indique au public les
vrais prix du marché.
Il est évident que le
prix de vente publique,en libre concurrence refléte l'
offre et la demande.
De plus on sait que
souvent le marché des salles de ventes est un lieu ou
s'approvisionnent les marchands,donc un particulier a
l'impression d' acheter à des prix de marchands.
Au siécle dernier nous avions "les
Salons et les Académies"qui définisaient les normes
de l'art.Ces normes étaient balayées
réguliérement par les artistes d'avant-garde et les
marchands,éclaireurs de l'esthétique,de nos jour tout cela
a éclaté,rien n'est aussi rigide
le 2 février 2008. Ce montage du siège de
La Rochelle est estimé 1.500 euros
le 5 juillet 2007. Ce montage( sur une
plaque de contre- plaqué) du siége de La Rochelle ( réédition) est en
vente 1.200 euros chez un marchand rue Saint
Sulpice Paris
Vente Drouot
: Estampe de Callot
"vue du Louvre" 420 Euros.
3
petits volumes religieux. 540 euros.
Tres fréquemment on trouve
des estampes des "misères de la guerre".
Bibliographie.
texte de maxime Préaud collection skira.
Tableau d'
adresses e-mail
de : collectionneurs,Acheteurs,vendeurs...
Un des but d' Internet
est la "communication" "la rencontre aisée de
personnes,afin d' utiliser cette facilitée,nous
serions heureux d'indiquer dans ce tableau
les "adresses e-mail" de toutes personnes
désirant
vendre,acheter,collectionner,des Objets,peintures,
documents, ayant un rapport avec la
page ci-dessus, (nous ferons de -même au bas de
chaque page de notre site, qui couvre tout les domaines
maritimes).
Si vous désirez y
figurer,(ou ne plus y figurer)
Le 01 juin 2008.
monsieur veuillez trouver ci-jointe une photographie
d'une belle estampe ancienne de Callot F L D Gaetres
exendit Cum Pr (gravée à Nancy) Jacques Callot (né
en 1593 mort en 1635 à Nancy) dessinateur et surtout
graveur,n'est pas spécialement peintre ou graveur de
marine , pourtant il a réalisé des oeuvres maritimes,et
surtout c'était le maître de Joseph Vernet , qui lui, a
réalisé, d'innombrables marines
cordialement
Liens
internet. en rapport avec le sujet de la
présente page