" Mon
cher Choiseul ,vous êtes aussi fou que vos
prédécesseurs : ils m'ont tous dit qu'ils voulaient une
marine; il n'y aura jamais en France d'autres marines que celles du peintre Vernet." . Louis XV. |
.
|
|
|
|
LOUIS XV Roi de France. |
|
A Paris le 3 may 1719.Le conseil a receu Monsieur la lettre que vous luy avez escrit le 28 mars vous pouvez rendre au S. Allard Bellin la soumission que vous avez eu ordre de retirer deluy pour sureté que son vaisseau "La Paix" ne seroit point vendu aux Etrangers puisqu'il est actuellement fretté pour porter des effets du Roy a St Domingue |
Louis-alexandre de Bourbon-Penthievre
(1681-1737) duc de Vendôme,Grand Amiral de France &
Marie duc d'Estrées (1660-1737)marechal de France. Lettre signée du 3 may 1719 Commission du conseil de la marine demandant de rendre au S Allard Bellin la soumission de retrait "pour seureté" assurant que son vaisseau la Paix ne seroit point vendu aux étrangers puiqu'il est actuellement fretté pour porter des effets au Roy à St-Domingue. Prix de vente :310 euros |
||||||
" le navire le St Pierre appartenant à Renaudier Goupil du Pouliguen a été l' objet d'un acte de piraterie et il se trouve à Grenoch en Ecosse.Nous avons la copie de la lettre écrite au cardinal Dubois par m; de Chammorel,à Londres,qui explique que le navire sera rendu à son propriétaire à la condition que celui-ci se présente en Ecosse avec tous les documents prouvant qu' il est bien propriétaire du navire Le capitaine Pierre Tartoué et szs marins ont été tués et les pirates arrêtés sont en prison,prêts à être jugés.Le procès des meurtriers devant avoir lieu dans un bref délai.... Il serait nécessaire que le sieur Renaudier put être ici dans ce temps là et qu'il apporta tout ce qu'il pourrait avoir d' indices ou de preuves en bonne forme pour aider à les convaincre une liste de matelots tués,une description de leurs habits de leurs meubles,un certificat de la destination du vaisseau le St Pierre le rapport precise en outre que "deux des meurtiers sont morts en prison d' une manière à faire soupçonner qu'ils ont prévenu leur supplice par le poison" |
Affaire de PIRATERIE. Lettre du comte jean- baptiste de Fleuriau (1886- 1732).ministre de la marine. Lettre signée à m. de la Mothe Versailles 28 avril 1723. 1.p in folio piéce pointe 3pp 1/2 in folio. prix de vente.450 euros |
||||||
Aujourd'hui dixiéme du mois de Novembre mil sept cent vingt neuf Le Roy étant à Versaille voulant commetre d'une personne capable et fidelle pour faire les fonctions d'Ecrivain de sa Majesté dans les ports et Arsenaux de marine et sur les Vaisseaux qui y avons armez .En Sachand que le sieur Chaneneau le fils a la qualité necessaire pour c'en bien acquitter ........................................................................... document portant la signature Royale "Louis" contresigné par le comte de Toulouse ,louis alexandre de Bourbon fils légitime de Louis XIV et de madame de Montespan |
Brevet d'écrivain de la
Marine en faveur du sieur Chanenceau fils sur velin et daté de Versaille le 10 novembre 1729 Enregistré au controlle de La marine à Bayonne le 23 décembre 1729 Prix:240 euros |
||||||
A tous ceux qui ces presentes lettres verront Salut Sçavoir faisons que nous avons donné Congé et permission à .................Maître & Capitaine d......nommé......................du port de..................tonneaux environ,monté de...........piéces de Canon & de Marchandises l .armer & munitinner de toutes choses necessaires & le charger de telles marchandises que bon lui semblera,pouvû qu'elles soient ni prohibées ni defendues,pour aller trafiquer.........& en ce faisant faire la guerre à tous Pirates,Forbans & gens sans aveu & autres qui voudront empêcher la liberté du Commerce aux sujets du Roi,même aux Ennemis de l'Etat si pendant le cours du voyage,la Guerre venait à se déclarer entre sa Majesté & quelqu'autre Puissance les attaquer en quelques lieux & endroits qu'il pourra rencontrer,les prendre & amener prisonniers avec leurs Vaisseaux,Equipages & Marchandises & exercer sur eux toutes les voyes & autres permis & usité par les Lois de la Guerre,à la charge par ledit..................de garder & faire garder par ceux de son équipage,durant son voyage,les Ordonnances & Réglements de la Marine sur les peines y contenues,de porter pendant son voyage les Pavillons & Enseignes des Armes du Roi & les nôtres,de faire enregistrer le présent Congé au greffe de l'Amirauté le plus proche du lieu d'ou il partira,y mettre un Rôle signé et certifié de lui contenant les armes ,munitions,les noms,surnoms naissances & demeures des hommes qui s'embarquent.Et à son retour,qu'il fera dans l'un des ports du Royaume qui lui sera le plus commode & avant de rien décharger,fera bon & fidèle rapport devant les officiers de l'Amirauté & nous autres de ce qu'il aura fait pendant son voyage,déclarera s'il a ramené tous ses hommes& s'il ne les a ramenés le lieu ou ils les aura laissés;lequel rapport de vérification d' icelui,il enverra au secretaire général de la Marine,pour être sur icelui par Nous ordonné ce que de raison Et en cas de prise de guerre fera faire des procédures par devant les officiers de l'Amirauté conformément aux Ordonnances lesquelles seront pareillement envoyées au Secrétaire général de la Marine,avant que lesdites prises puissent être déchargées, pour sur icelles être par Nous ordonné ce qu'il appartiendra. Prions et Requerons tous Rois, Princes Potentats,Etats,Républiques Amis Alliés & Confédérés de cette Couronne,leurs Amiraux,Gouverneurs de leurs Provinces Villes Ports,Havres & Passages,Capitaines chefs & Conducteurs de leurs Vaisseaux & Equipages & autres leurs Officiers & Sujets qu'il appartiendra de donner audit..........toute assistance passage & retraite en leurs Ports,avec son dit Vaisseau & ce qu'il aura pû conquérir offrant de faire semblable lorsque Nous en seront par eux requis. MANDONS et ORDONNONS aux Vice-Amiraux,Lieutenans Généraux des Armées Navales chefs-d'Escadres,Capitaines des Vaisseaux & à tous autres Officiers de Marine qu'il appartiendra de laisser sûrement & librement passer ledit............avec son vaisseau et équipage & tout ce qu'il aura pû conquérie pendant son voyage en vertu du présent congé sans lui donner ni souffrir lui être fait ou sonné aucun trouble ni empêchement;mais au Contraire,tout secours,aide faveur & assistance dont il aura besoin & qu'il ne servira le présent congé que pour un seul voyage En temoin de qui Nous avons Signé ces Présentes & à icelles fait apposer le Sceau de nos Armes et Contre signé par le Secrétaire Général fe la Marine L J M de BOURBON Pae son Altesse Serenissieme A.... jours du mois d mil sept cent.. |
Lettre
de Marque pour corsaire document resté vierge en effet le ministère de la marine envoyait des lettres de marque en blanc aux autorités de districts. imprimé en noir sur un parchemin . timbre sec aux armes de Penthièvre 32x50cm ND |
||||||
|
Déclaration
du ROI Qui exempte du droit de dixième les prises qui seront faites à la mer sur les ennemis de l'Etat par les Bâtimens armés en course,pendant le cours de la présente Guerre,& régle les récompenses particulières tant pour les Officiers & Equipages des Vaisseaux de Guerre du Roi,que pour les Capitaines & Equipages des Vaisseaux Corsaires donné à Versailles le cinqième Mars 1748. DECLARATION DU ROI. Qui supprime le Dixiéme de M l'Amiral sur les prises en Mer,& fixe les récompenses en fave ur de ceux qui feront des Armements,& des Officiers,Volontaires & Matelots qyi seront sur les Vaisseaux & Frégates,etc.. Du 15 Mai 1756 80 euros |
||||||
Commission de Capitaine de Vaisseau signé de la main de Louis (Louis XV) pour Charles Joseph Hocdenault de Breugnon. (retraité chef d'escadre en 1750 .mort en 1760. pére du cmte de Breugnon lt gal des armées navales et diplomate On remarquera que le roi, pour un capitaine de vaisseau s'adresse à lui "vous" et non "le sieur xx " |
1731
NOMINATION PAR LE ROI D'UN CAPITAINE DE VAISSEAU. Commission de
Capitaine prix de vente: 700 euros. |
||||||
Mémoire à monsieur le Lieutenant Criminel. 1739. Supplient humblement Gertrude Pottier ,Epouse de joseph Moisson de Sainte Marie ,lieutenant de Vaisseau de la Compagnie des Indes,et Andrée-Marguerite Moisson de Sainte Marie,la fille majeure ès noms & qualités qu'elles procedent Disantes,que le sort malheureux qui poursuit les Suppliantes les rend bien digne de pitié l'une abandonnée de son mary depuis 1719. Qu'il s'est embarqué pour les Indes en qualité de Lieutenant de vaisseau,ignore encore le destinée de cet Epoux Celle d'un fils qui l'a suivi de près dans cet embarquement ne lui est pas moins inconnue,ainsi l'amour & la tendresse sont en elles egallement allarmés........ ND. |
|||||||
|
Etat des comptes concernant
les demi-soldes des invalides de la marine de l'Amirauté de Quimper signé LOUIS et contresigné par Phélypaux. Versaille le 02 septembre 1742 prix 390 euros |
||||||
prix de vente .260 euros. | Congé
passeport pour batiment étranger daté1744. délivré par Louis
jean marie |
||||||
|
lettre
du duc de Praslin en réponse a une sollicitation de M le Marquis de Chambray pour faire entrer son fils dans les gardes de la marine.
|
||||||
|
Document MANUSCRIT
provenant des archives du chef d'escadre d'ORVES cahier de 44 pages in_4 vers 1745 Liste générale "des officiers de plume" de la marine comportant 300 noms d'officiers de plume classés par fonctions Intendants, Commissaires généraux Inspecteurs. Commissaires ordinaires. Commissaires particuliers. Gardes de magasins. Commis. Ecrivains est indiqué la date d'entrée en fonction (entre 1702 et 1745) et souvent le port d'attache. prix de vente : 510 euros |
||||||
42 vaisseaux, 20 frégates,10 chébecs,4 bombardes, 2 pachots, 3 brûlots. |
Etat des
Vaisseaux de Guerre ,Fregattes,et Chebecs de l'Escadre de sa Majesté Catholique. (le Roi d'Espagne) Janvier 1756. prix 110 euros |
||||||
De
par le ROY. Sa Majesté ayant fait choix du Cher De Bourmand Garde de la Marine de la Commagnie de rest pour à la place de Sr Allouars fait Enseigne de Vaisseau,servir en qualité de Sousbrigadier des Gardes de la Marine de la dite Compagnie;Elle mande au Sr de Chezac Capitaine de vaisseau Commandant la dite Compagnie de le recevoir et de le faire reconnaitre en la qualité de sous brigadier de tous ceux et ainsi qu'il appartiendra ,et au Sr Locquart Intendantde la marine au dit Port de l'Employer sur le R des gardes de la marine de son Département fait à Versailles le 11 février 1756 |
nomination
d'un Garde de la marine Signé Louis 11 février 1756. prix 240 euros |
||||||
Sur la
présentation qui a été faite par le duc de Penthievre Amiral de france
|
Brevet de garde de pavillon amiral signé LOUIS XV. (secretaire) ,contresigné par Peirenne de Moiras de Massiac ministre de la marine prix: 150 euros. |
||||||
Chaloupe de santé Dunkerque 1757
prix 180 euros |
|||||||
Entrée des navires dans le port Dunkerque 1757
prix 180 euros |
|||||||
M Le
baron de Chambray votre fils monsieur étant garde du pavillon amiral je ne puis
faire expédier le
congé que vous me demandé celuy que la demande ne m'en ait faite par M le Duc de Penthièvre il sera necessaire pour cela que vous en ecriviez au commandant du détachement dans lequel il sert et je ne puis que vous témoigner combien je suis faché que cette formalité retarde l'empressement que vous avez de le faire venir auprés de vous. Je suis tres parfaitement monsieur votre tres humble et tres obeissant serviteur Versaille le 28 Xbre 1757. |
lettre
signée de Peirenne de Massiac ministre de la marine. Adressée au Marquis de Chambray.
|
||||||
Sa Majesté
ayant permis aux baron de Chambray garde du pavillon Amiral du |
Mutation a Brest du baron de Chambray ordre de reception en la compagnie des gardes du pavillon à Brest signé Louis XV (secretaire) contresigné par le ministre de la marine.
Fait à Versaille prix: 120 euros. |
||||||
Monsieur J'ai l'honneur de vous écrire cette lettre pour vous apprendre mon arrivée en ce port avec la Prise que noius avons eu le Bonheut d'amariner par le 49d 44 de lattitude nord et par 3 d 30m de longitude Monsieut Porestier fils est capitaine dun dit Corsaire La Diane de Bayonne m'ayant donné les ordres necessaires pour m'adresser aux correspondants dont jauray besoin .Je ne doute pas qu'il ne vous soit été averty par Mr son Père armateur du dit Corsaire c'est en concéquence Monsieur que cette icy est pour vous en donner avis que je viens d'entrer en ce port avec la prise l'Elisabeth chargé de vin et d'oranges aigres y ayant été contraint par le cdhasse que noius avons eu par 2 fregattes anglaises et le vent contraire ayant besoin de chandelle ... ......................................... Le 26 février 1761. |
Lettre annonçant
la prise de l 'Elisabeth chargée d'une cargaison en vins et oranges , par le navire corsaire LA DIANE février 1761 Prix 200 euros. |
||||||
Brevet d'Enseigne de Vaisseau.
pour le Sr Taboureau Dargenuville Aujourd'hui cinqiéme jour du
signé Louis. au dos Le Duc
de Penthiévre prix de vente 510 euros.
|
|||||||
Jeton en
ARGENT 1762. Emis pour le
vaisseau de Prix: 160 euros. |
|||||||
et de la Marine ,et le sieur Petel, entrepreneur général(Imp. de G.deprez 1763) 2 tableaux mauscrits état général des bois fournis au Havre et de Brest par Brémontier de 1761à 1766 et en 1767 |
traité pour la fourniture de bois à la Marine ,arrêté entre le duc de Choiseul , ministre et secrétaire d'Etat de la guerre et de la Marine ,et le sieur Petel, entrepreneur général(Imp. de G.deprez 1763) 2 tableaux mauscrits état général des bois fournis au Havre et de Brest par Brémontier de 1761à 1766 et en 1767 + notice sur Brémontier prix de vente 380 euros Voir présentation de ces documents sur la page chantier naval |
||||||
|
BREVET DE
LIEUTENANT DE VAISSEAU Pour la campagne pour le Sr Cornic capitaine de Brulot. 21 may 1764 recto signé Louis (louis XV) verso du duc de Penthièvre amiral de France.et du duc de Choiseul Parchemin prix 300 euros |
||||||
Dunkerque 11septembre 1761 Ordre du commandant du port adressé au Sieur Bouvier ,lieutenant de frégate qui commandais cy-devant la chaloupe canonière "La légére" de se rendre au Havre son département et prions tous ceux qui sont à prier de le laisser librement passer et repasser sans luy causer aucun trouble et mesme de luy donner tous les secours dont il pouvait avoir besoin.. Louis-Alphonse Jubert vicomte de BOUVILLE Prix de vente :320 euros |
|||||||
|
BREVET DE
LIEUTENANT DE VAISSEAU pour le Sr Cornic capitaine de
Brulot. 1 octobre 1765 recto signé Louis (louis XV) verso Griffe du duc de Penthièvre amiral de France. et du duc de Choiseul Parchemin prix 300 euros |
||||||
|
Autre brevet de
Lieutenant de Vaisseau pour le Sr CORNIC signé mais non daté
! prix 300 euros. |
||||||
Contrat pour la livraison et
transport
d'armes. entre g.n. Baudard
écuyer
seigneur de Vaudesir,trésorier
général des
colonies,propriétaire de la manufacture
d'armes de Charleville et
Emm Blondel
de Beauregard,armateur
du vaisseau "
Le prevost de Paris" destiné
aux îles de
France et de Bourbon. les contractants
conviennent d'une livraison à
l'armateur de
"deux mille fusils de traitte
français
à la grenadière garnis en cuivre"
lesquels
seront payés par le sieur de Beauregard "sur le pied de neuf livre chaque" 40 joiur après l'arrivée du vaisseau transportant les armes dans le port de l'Ile de France. |
Contrat
notarié daté de Paris le 21 février 1767. Prix du document: 360 euros. |
||||||
Je soussigné Canonnier royal préposé à l'instruction des apprentis-canonniers du port de Brest certifie que le nommé jean-louis haigueré matelot de Calais agé de vingt sept ans natif de ouarje fils de antoine haigueré & de Marie jeanne Le Roy a été instruit aux écoles & exercices du canonnage de ce port ,depuis le quatre avril 1769 jusqu'à ce jour,que le présent certificat lui a été expédié A Brest le trente un Mars 1770 |
certificat
d' instruction pour un apprenti canonnier Artillerie de la marine: Certificat d'instruction. Port de Brest le trente mars 1770. signé par le
chevalier prix de vente 150 euros |
||||||
|
Manuscrit Etat des navires des marines de France d'Espagne,d'Angleterre, du Dannemark et de Russie en 1771 un volume manuscrit de 128 pages in-12 reliure d'époque veau fauve prix 510 euros |
||||||
signé Louis contresigné Bourgeois de Boynes et au verso signé par le Duc de Penthievre amiral de France signé L.J.M de Bourbon |
BREVET DE
LIEUTENANT DE FREGATE DE LA CIE DES INDES sur velin enregistré en mars 1772 à BREST prix: 480 euros 33x25cm |
||||||
TITRE DE PENSION | |||||||
Direction de Saint Malo. Controlle général de St Brieux capitaineie générale de St Servan. Ordre d' Installation brigade de Ste Lunaire employé d'ordre je prie monsieur Bammier d'établir le Sr Tardivel en qualité d'employé d'ordre accés poste à la place du Sr Dupré qui passe ailleurs de donner audit Sr Tardivel toutres informations necessaires pour se bien acquittaer des fonctions de son emploi & de faire payer de ses appointements du jour quinze du courant à la charge par ledit Sr Tardivel s'il ne l'a fait,de prêterle serment accoutumé,& de remettre le présent Ordre,revêtu de ses formalités...... |
Douanes fermes
|
Tableau
d' adresses e-mail
de : collectionneurs,Acheteurs,vendeurs...
Un des but d' Internet est la "communication" "la rencontre aisée de personnes,afin d' utiliser cette facilitée,nous serions heureux d'indiquer dans ce tableau les "adresses e-mail" de toutes personnes désirant vendre,acheter,collectionner,des Objets,peintures, documents, ayant un rapport avec la page ci-dessus, (nous ferons de -même au bas de chaque page de notre site, qui couvre tout les domaines maritimes). Si vous désirez y figurer,(ou ne plus y figurer) contactez nous |
||||||
le 4 novembre 2010
Monsieur
veuillez trouver ci-jointe une gravure représentant le Duc de PenthièvreLouis Jean Marie De BOURBON DUC DE PENTHIEVRE Grand Amiral De France né à Rambouillet le 16 septembre 1725 présenté par son tres humble serviteur Bligny
|
||||||
le 1 octobre 2008.
Messieurs,
Je vous confirme mon interet pour tout
objet / document relatif a la region de Sait-Malo aux
XVII et XVIII emes siecles et en particulier mais pas
seulement ce qui touche aux activites corsaires.
N'hesitez pas a me proposer des
objets de qualite. Je suis joignable a l'adresse
email ci-dessous Merci d'avance.
Cordialement
Jacques
Petry petryj@wanadoo.fr |
||||||
Le 18 mai 2005. Bonjour, Je recherche tout document relatif au vaisseau "Comte de Provence" de la Cie des Indes (1756-1766), en particulier sa mission de Lorient à Pondichéry, à partir du 30 décembre 1756 : livre de bord, rôles, cartes marines, plans, documents d'armement et d'équipage, ... Bien cordialement, D.BECQ dbecq@hotmail.com |
Extraits de " La marine de
Louis XV " sur
Wikipedia... .Il n'y a rien à ajouter ....... Cette époque est souvent considérée comme difficile pour la marine française, l'effort naval étant limité sous la Régence (1715-1726) et sous la minorité de Louis XV (le pays étant dirigé par le cardinal de Fleury jusqu'en 1743). Le jeune roi grandit dans une « bulle dorée » à Versailles, loin des questions navales et sans jamais avoir vu la mer pendant son enfance, alors que son arrière-grand-père, Louis XIV avait déjà parcouru huit fois les rivages atlantiques et méditerranéens avant sa prise de pouvoir en 1661. Des deux côtés de la Manche, après l'éprouvante guerre de Succession d'Espagne on a fait le choix de la paix, mais Londres maintient un effort naval important qui s'explique par une méfiance chronique vis-à-vis de Versailles et la volonté de conserver l'avance acquise lors du conflit précédent. Côté français on fait le choix inverse, sachant qu'il faut aussi épurer les dettes du précédent règne, en plus de montrer sa volonté de rupture avec l'ancienne politique louisquatorzienne, jugée trop agressive. Le budget de la marine reste donc à un bas niveau pendant toutes les années 1720-1730. Sur un budget de l'État annuel de 180 à 200 millions de livres, le ministère de la Guerre en consomme entre 30 et 33 %, la marine seulement 5 à 6 % Beaucoup de vaisseaux pourrissent à quai. Certains sont transformés en engins de port, d’autres en navires de servitude ou en pontons. Visitant Toulon en 1716, le maréchal de Villars se désole de l'état d'abandon des anciennes citadelles flottantes qui, « auparavant allaient porter la gloire du roi, celle de la nation et la terreur de nos armes jusqu'aux extrémités de la Terre ». En 1720, les ateliers et magasins de Brest, Toulon et Rochefort sont presque à l'abandon. Les intendants de marine notent dans leurs rapports la pauvreté de certains jeunes officiers, tout comme l'herbe qui pousse entre les pavés des arsenaux désertés. La situation des ouvriers et des maitres de métiers est des plus précaire. Le ministère et les responsables des arsenaux s’efforcent de leur trouver de l’emploi en les occupants aux démolitions des vieux navires et en les faisant travailler pour la construction au commerce. Il faut jongler avec les crédits pour assurer quelques lancements, construire la coûteuse forteresse de Louisbourg qui défend l'entrée du Canada et entretenir le peu utile corps des galères En 1721, l'effectif global de cette flotte en état « d'abandon organisé » est de trente-et-un navires, soit à peine plus qu'en 1661. Du fait de la chute des constructions commencé pendant le dernier conflit de Louis XIV, l’âge moyen des vaisseaux était passé de 12 ans en 1702 à 18 ans en 17134. En 1720, l’âge moyen est maintenant de 24 ans, soit presque 10 ans de plus que la durée habituellement prévue pour les bâtiments. Deux vaguelettes de constructions, en 1722-1724 puis en 1727-1728 tirent quelque peu les arsenaux de leur léthargie et apportent un semblant d’air frais à la flotte8. Vingt vaisseaux et quatre frégates sont lancés en trois ans, puis, après une pause, trois autres vaisseaux et six frégates viennent s’agréger aux vieilles unités qui pourrissent à quai8. En 1729, il y a en théorie cinquante-et-un vaisseaux disponibles, mais le nombre réel n'est que de trente-huit. Cette « ombre de flotte » (Jean Meyer, Martine Acerra)8 est suffisante pour lutter contre les Barbaresques en Méditerranée (expédition contre Tripoli menée par Duguay-Trouin), envoyer une petite escadre en mer Baltique pendant la courte guerre de Succession de Pologne, ou une autre en représentation jusqu'à Stockholm (1739) mais on ne peut guère prétendre à plus Les petites interventions avant la Guerre de Succession d’Autriche posent aussi la question de l’état du corps des officiers. Duguay-Trouin est un vétéran des guerres louisquatorziennes. Il n’est pas le seul. La plupart des chefs qui vont servir jusque dans les années 1740 sont dans cette situation. Ils ont été, dans l’ensemble, bien formés par la dure expérience des derniers conflits du règne précédent, ce qui constitue un capital humain précieux. Avec intelligence, le ministère les maintient en fonction, ce qui achève de les professionnaliser. Ils sont à peu près 1 200, soit en gros le même chiffre que sous Colbert-Seignelay, nombre qui va rester stable jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Cet état de fait souffre cependant d’un gros point noir : le manque d’entraînement. Alors que la Royal Navy maintient une forte présence à la mer de ses vaisseaux et de ses hommes en temps de paix pour les former et les endurcir, on ne trouve rien de tel côté français par manque d’argent. Les équipages et les jeunes officiers doivent se contenter le plus souvent de manœuvres et d’exercices dans les rades qui ne fournissent qu’une très médiocre expérience. En échange, les officiers reçoivent une formation théorique plus poussée à terre. Elle ne peut cependant pas compenser la richesse d’un entraînement « réel » dans une escadre d’évolution que le ministère est dans l’incapacité de financer. Cette tendance lourde va perdurer jusqu’à l’avènement de Louis XVI. La marine a cependant la chance de disposer d'un ministre talentueux en la personne de Jean Frédéric Phélypeaux de Maurepas. Ce dernier, nommé secrétaire d'État à la Marine à l'âge de 22 ans « alors qu'il ne savait même pas de quelle couleur était la mer, » est passé jusqu’à la fin du XIXe siècle pour un courtisan léger juste capable de faire des bons mots. Les historiens l'ont maintenant réhabilité en reconnaissant l'ampleur de son travail mené dans un contexte budgétaire très difficile. Maurepas se passionne sincèrement pour son ministère et fait partie de ces rares secrétaires d'État à la marine qui savent quitter leurs bureaux pour visiter les ports. Il se rend dans les arsenaux de Brest et Rochefort en 1727 pour connaître leurs besoins et rechercher des hommes compétents. Il demande une augmentation substantielle des dépenses navales afin de pouvoir protéger le commerce maritime en pleine expansion. En vain. Maurepas cherche alors d’autres solutions. La première lui vient de la science lorsqu’il recrute Duhamel du Monceau. Membre de l’Académie des sciences depuis 1728, Duhamel du Monceau est un touche-à-tout savant doté d’une insatiable curiosité intellectuelle. Botaniste et agronome au départ, il devient le conseiller technique de Maurepas lorsque celui-ci le nomme comme inspecteur des constructions en 1732 puis comme inspecteur général de la marine en 1739, poste créé pour lui. Foisonnant d’idées et de solutions, Duhamel du Monceau est aussi un remarquable découvreur d’hommes et un infatigable voyageur Entre 1737 et 1749, il multiplie les déplacements, les observations, les expériences. Un voyage en Angleterre lui permet de rédiger un mémoire sur la marine de ce pays. L’année suivante il intervient à Rochefort pour sauvegarder les bois de mâture menacés de pourrissement. En 1740, il mène à Brest des expériences sur les cordages et installe à Lorient l’année suivante une étuve pour courber les bois de bordage puis repasse à Rochefort pour restaurer certaines infrastructures. À partir de 1743, il dresse un état des provinces littorales en les parcourant, étudie les possibilités d’implantations portuaires, la navigation interport et la conservation des grains dans les arsenaux. La multitude des sujets abordés et des lieux visités rend compte de l’activité d’un homme au fait des affaires maritimes, chargé de renseigner Maurepas sur les aspects essentiels au développement des forces navales : qualité des approvisionnements, bonté des rades, amélioration des techniques de production, formation des constructeurs de marine À ces expériences et enquêtes d’un savant reconnu, Maurepas ajoute une deuxième solution : l’espionnagePour ce faire, il utilise les ressources de deux constructeurs au talent déjà reconnu : Blaise Geslain et Blaise Ollivier. Blaise Geslain est envoyé en Angleterre en 1729 Sous couvert de formation professionnelle, les ordres donnés au jeune constructeur sont clairs : il doit apprendre la langue du pays, puis « il s’instruira des principes que les Anglais suivent pour la coupe de leurs vaisseaux ». Il doit se procurer des tableaux, des mémoires et tous les documents nécessaires pour se faire une idée des proportions et des rangs de chaque type de navire de la flotte britannique. Il doit s’efforcer de dresser des plans où « il distinguera par des lignes de différentes couleurs les changements qu’il y aura entre les gabarits anglais et ceux de France, avec les observations particulières des principes sur lesquels elles sont fondées ». En 1737, alors que la rivalité coloniale et commerciale commence à tendre les relations entre Versailles et Londres, c’est le constructeur Blaise Ollivier qui est envoyé aux Provinces-Unies et en Angleterre pour « y prendre des principes plus certains que ceux que l’on suivait en France ». Toulonnais installé à Brest depuis 1720, Blaise Ollivier a déjà fait preuve de ses excellentes capacités intellectuelles en rédigeant en 1727, à bord du vaisseau l’Achille un mémoire sur la construction navale dans lequel il aborde les qualités et les défauts des vaisseaux français, en suggérant des solutions pour les améliorer Son séjour de six semaines aux Provinces-Unies et de trois mois en Angleterre lui permet de rédiger des « mémoires sur la marine des Anglais et des Néerlandais ». Il y énumère et classe tous les vaisseaux de la flotte anglaise, y décrit tous les grands arsenaux et leurs caractéristiques comparées aux infrastructures françaises Il y analyse aussi les principes et les méthodes de construction de ces deux nations maritimes. En 1739, Blaise Geslain retourne aux Provinces-Unies sous un faux nom pour le même motif d’espionnage. Les conséquences de cette politique de renseignement d’une part, d’éducation par observation et comparaison d’autre part, donnent des résultats presque immédiats. Les missions remplies par Blaise Geslain et Blaise Ollivier permettent d’améliorer l’art de la construction navale, mais instaurent aussi pour tous les jeunes sous-constructeurs l’obligation de circuler d’un port à l’autre. En effet, à son retour d’Angleterre, Blaise Ollivier adapte à ses vaisseaux certaines pratiques observées (avec pragmatisme car il reconnait aussi l’excellence des méthodes françaises). Devant les résultats positifs obtenus à Brest, Maurepas ordonne le séjour systématique auprès d’Ollivier des constructeurs des autres ports « afin de s’instruire à fond de leur art ». Ils retournent ensuite dans leur arsenal d’origine, où ils sont tenus d’appliquer leur nouveau savoir. Ce rôle éducatif d’Ollivier est déterminant dans l’uniformisation des méthodes de construction navales13. En 1741, ces échanges deviennent obligatoires. Le jeune sous-constructeur qui ne s’y plie pas voit sa carrière bloquée . Une nouvelle étape est aussi franchie cette année-là avec la création de la Petite École de Construction de Paris qui deviendra la Grande en 1748 et s’installera aux Tuileries Duhamel du Monceau est à l’origine de cet établissement. Ses multiples tournées d’observation l’on amené à remarquer que la plupart des constructeurs travaillaient « au hasard et sans principes » et que faute d’être suffisamment instruits ils manquaient beaucoup de vaisseaux . Au sein de cette nouvelle école, les futurs constructeurs reçoivent un enseignement théorique à base de mathématiques et de physique afin de mieux maîtriser le calcul de leurs plans des vaisseaux. Duhamel du Monceau effectue lui-même le premier recrutement d’élève en la personne de Clairain des Lauriers. Sa formation est exemplaire du mode éducatif mis en place et dont l’esprit sera repris par l’ordonnance de Choiseul en 1765. Distingué pour ses qualités prometteuses, il est envoyé à l’école, où il séjourne durant un an. Il y reçoit un enseignement de mathématiques, géométrie, mécanique, physique. Ses progrès, sanctionnés par ses maîtres, sont récompensés par le ministre qui l’envoie à Brest appliquer la théorie qu’il vient d’apprendre, sous l’autorité de Blaise Ollivier Le jeune Joseph Marie Blaise Coulomb, issu de la vieille dynastie des Coulomb qui « règne » sur l’arsenal de Toulon depuis le milieu du XVIIe siècle intègre l’école lui aussi. Maurepas, aidé de Duhamel du Monceau, a donc substitué à la formation théorique, ponctuelle et locale donnée dans les arsenaux, un enseignement institutionnalisé et uniforme au sein d’une école de recrutement national implanté à Paris. L’équilibre entre la formation théorique et la pratique d’un aîné qualifié est atteint. Les progrès des constructeurs, qui en contrepartie perdent de leur indépendance, permettent la mutation technique, lente mais irrémédiable de la marine de guerre . Celle-ci va progressivement éliminer les vieux modèles et entrer dans l’uniformisation des séries de vaisseaux, donnant par là réalité à un rêve que Colbert avait en vain caressé en son tempsles campagnes elles sont limitées à quelques engagements contre les Barbaresques et à quelques démonstrations dans la Baltique, à cause de la longue période de paix que connait l'Europe après 1713 et en raison de la prudence du gouvernement français lorsque se déclenche un nouveau conflit d'envergure en 1733. Profitant de la léthargie de l’escadre de Toulon, les corsaires musulmans de Tunis, de Tripoli et d’Alger font leur réapparition sur les côtes provençales, reprenant leurs traditionnels pillages et rançonnages48. En 1727, Versailles se décide à réagir en combinant l’action de six vaisseaux de Brest envoyés faire leur jonction avec cinq de Toulon. Sans grand effet : un navire de 38 canons est capturé aux îles d’Hyères, mais finalement restitué au bey de Tunis avant de faire une stérile démonstration devant Alger48. En , une petite force partie de Toulon (deux vaisseaux, quatre frégates, une flûte, trois galiotes à bombes et deux galères) force le bey de Tunis à verser une indemnité de 100 000 livres puis s’en va bombarder pendant six jours Tripoli qui a refusé tout arrangement48. En 1731, nouvelle croisière, menée cette fois par Duguay-Trouin avec quatre vaisseaux48. L’entreprise tourne cependant à la promenade militaire, toutes les villes se soumettant ou lui faisant bon accueil dès que parait son pavillon49. L’escadre visite encore les Echelles du Levant, Chypre et Rhodes avant de rentrer à Toulon le 1er novembre48. En 1734, une escadre de neuf vaisseaux est envoyée sur Alger, mais sans rien entreprendre contre le port48. En 1737, sous le commandement du marquis d’Antin, deux vaisseaux et trois frégates envoyés contre Salé, sur la côte du Maroc, obtiennent la libération de sept cent cinquante et un captifs chrétiens48. En , avec deux brigantins et onze coralines génoises, on tente de s’emparer de l’île de Tabarca, dont l’intérêt militaire parait évident pour contrôler la côte tunisienne. L’échec est complet (et sanglant) La guerre de Succession de Pologne (1733-1738) est fondamentalement continentale, mais force le gouvernement français à activer l’escadre de Brest, même si le cardinal de Fleury en limite strictement les mouvements pour ne pas inquiéter l’Angleterre qui est restée neutres. En 1733, une petite force de neuf vaisseaux et cinq frégates porteuse de 1 500 hommes de troupe est concentrée dans la Baltique pour appuyer le nouveau roi de Pologne qui vient d’être élu avec le soutien de la France contre le candidat des Russes et les Autrichiens. Elle reste cependant mouillée à Copenhague, puis est rappelée à la fin de l’année, alors que le nouveau souverain, Stanislas Ier, doit quitter sa capitale sous la pression de l’armée russe et se réfugier dans la forteresse portuaire de Dantzig. Assiégé par des forces considérables, il attend l’aide de Louis XV — qui ne peut venir que par la mer — pour sauver sa couronne. En , Duguay-Trouin reçoit le commandement d’une escadre de quinze vaisseaux censée partir pour la Baltique, mais elle est désarmée en novembre. Fleury limite l’aide à quelques bâtiments embarquant un renfort de 2 000 hommes, (et qui n’emportent que sept cartouches chacun…) La petite troupe, arrivée en , se rembarque immédiatement au vu d’une position devenue intenable alors qu’au même moment Versailles engage des dizaines de milliers d’hommes sur le Rhin et en Italie du nord contre l’Autriche, choisie comme cible principale. En 1735 on parle d’armer vingt vaisseaux. Mais avec la hute de Dantzig l'année précédente (), la fuite de Stanislas et la signature des préliminaires de la paix de Vienne, l’escadre est à nouveau neutralisée. Les Français ont tout de même capturé une frégate russe de 36 canons, le Mittau dont l’équipage va servir à un échange de prisonniers. Malgré l’échec en Pologne, la guerre est victorieuse pour la France. La flotte n’y a joué qu’un rôle tout à fait secondaire, sa mission se limitant à apporter un soutien symbolique à un roi de Pologne qui n’avait de toute façon pas les moyens de se maintenir sur son trône. Un trône pour lequel le gouvernement du cardinal de Fleury avait refusé dès le début d’envisager une guerre lointaine nécessitant une forte mobilisation navale, laquelle aurait tôt ou tard provoqué l’entrée en guerre de l’Angleterre aux côtés des Russes et des AutrichiensL'article continu vous pouvez vous y reporter !!!!!!! |
Donnez nous d'autres
informations sur l'art et la marine? participez aux blogs http://antiquairemarine.blogspot.com http://librairie-maritime.blogspot.com http://photographie-maritime.blogspot.com ..........Vous désirez vendre ?.......... Mettez une annonce Gratuite et consultez la page : http://librairie-marine.com/documents/general/grenier.html ....et traitez directement avec un éventuel acheteur !. |
et
visitez les sites conjugués http://historic-marine-france.com http://peintres-officiels-de-la-marine.com http://librairie-marine.com |
http://www.facebook.com/pages /librairie-marinecom/ 100720683348651?sk=wall |